14 juin 2016
Nous émergeons dans la fêlure.
Toute ma survivance est un exode, un relent d’air calfeutré dans l’inspiration, une muse providentielle surprenant la ration d’écume quotidienne. Je suis ce que je crois être. Le rêve assèche ma gibecière d’infini. Je suis ce qui existe par-delà moi-même...