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Bruno ODILE
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Bruno ODILE
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13 février 2015

Je souffre, tu souffres, nous souffrons...

Je souffre, tu souffres, nous souffrons...
L’accident, cet imprévu désoeuvré, a grignoté l’espace déterminé faisant face aux étendues démesurées. Quelque chose s’est dérobé. La connaissance que j’avais de moi jusqu’à lors cède la place à la non reconnaissance de l’altérité.A présent, une dissonance...
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6 février 2015

À la rencontre de mes rencontres.

À la rencontre de mes rencontres.
Je n’avais pas compris l’audace circulant dans les veines du jour. Je n’imaginais pas le silence comme une portée musicale abstraite installée dans ma chair. Le choc vécu est un réveil, un éveil à la pureté des ondes qui m’effleurent inlassablement. Estourbi,...
1 février 2015

L’espace se réduit toujours à ce que j’en vois.

L’espace se réduit toujours à ce que j’en vois.
Je n’avais pas compris l’audace circulant dans les veines du jour. Je n’imaginais pas le silence comme une portée musicale abstraite installée dans ma chair. Le choc vécu est un réveil, un éveil à la pureté des ondes qui m’effleurent inlassablement. Estourbi,...
24 janvier 2015

Ce matin, j’aime mon ombre.

Ce matin, j’aime mon ombre.
Détresse d’un paysage familier, l‘immobilité n’apporte aucune réponse à l’absence d’un membre. Sensations d’un corps mort, le partage peut être vivifiant ou mortifère. Le noir prolonge le silence dans lequel je tente de réunir ce que je ne peux nommer....
18 janvier 2015

Détresse d’un paysage familier.

Détresse d’un paysage familier.
Confier sa vérité profonde à celui ou celle qui la comprend, l’entend et l’accueille, nous libère du poids ahurissant de la certitude et de l’acuité désespérante. Le partage humain aide au détachement, il offre aux fardeaux solitaires de se défaire de...
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17 janvier 2015

L’imprévu ne m’a pas tué.

L’imprévu ne m’a pas tué.
Souffre mon âme de tes deux yeux crevés ! La jarretière se porte haut sur les balcons de mon ciel. Le mariage du firmament et de la terre reste un euphémisme lorsque mon corps décapité rugit de sa gloire perdue. La synergie de mon être est fragmentée,...
16 janvier 2015

Le désespoir n’a pas d’odeur.

Le désespoir n’a pas d’odeur.
La terreur de voir son corps mutilé est inexplicable. Il y a quelque chose de définitif dans la morsure. La matière croyait dormir dans l’épaisseur inerte de l’éternité. Et puis, soudain, c’est la transformation, la mutation radicale. La transmutation....
4 janvier 2015

Ma charpente résonne de ses membres fantômes.

Ma charpente résonne de ses membres fantômes.
Sextant à l’autre bout de la terre, l’amour gravite autour des forêts, d’arbre en arbre, de fruit en parfum. Le désir qui occupe mon esprit est de rendre le sentiment orgastique et végétal. Parce que l’image déstructurée est vite un fardeau, elle déglutie...
5 octobre 2014

L'INCURIE INCREMENTEE A LA SEVE DU JOUR

L'INCURIE INCREMENTEE A LA SEVE DU JOUR
Crier à bout de souffle revient à déchirer les derniers copeaux d’ombre qui éclaboussent mes landes dévastées. Hurler sa rage clôture l’étouffement des griefs portés en bandoulière comme la nonchalance de son amour-propre. L’espérance prodiguée par la...
18 août 2014

Le cœur n’a pas d’ambition préméditée

Le cœur n’a pas d’ambition préméditée
Le ciel est une grande marmite inextricable où la buée devient racine. L’énergie fusionnelle dératise l’esprit mécréant, addict à la consolation morale. De petits clapotis explosent le mur du son qui se fragmente en mille éclats. J’ai dans la peau le...
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