12 juillet 2014
Je pense trop, je rêve trop.
Nous vivons, là, dans l’attente d’une levée de poudre ou d’un oiseau s’extirpant de la carte postale. Le jour est la géode osseuse de la nuit. Nous devenons des blancheurs alignées sur le vertige des silences. Assis sur le rebord de l’éternité, nous contemplons...