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Bruno ODILE

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Bruno ODILE
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17 juillet 2014

Notre survivance dépend de notre volonté.

Notre survivance dépend de notre volonté.
La joie de vivre et la joie d’être sont toujours d’une logique égocentrique. L’essentiel pour soi est bien souvent dans le reflet de notre objectivation : pourvu que les autres croient que je suis heureux ! Nous défendons, chacun à notre manière, l’attitude...
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16 juillet 2014

Nudité apatride, où se trouve le sérail de la fatalité ?

Nudité apatride, où se trouve le sérail de la fatalité ?
Dépourvu de sens, on naît sans savoir pourquoi nous sommes sur cette terre. Dessoudé du néant, j’arrive de l’angoisse du vide, d’un chemin sans fin vers un but inconnu. Je suis un reliquat, un frémissement de la matière, un frisson d’existence. Une gaîté...
15 juillet 2014

Le cercle des poètes disparus

Le cercle des poètes disparus
15 juillet 2014

L’onde pénétrante.

L’onde pénétrante.
Je ne suis pas convaincu que l’on puisse s’exclamer : le bonheur existe, je l’ai rencontré ! L’enchantement n’est-il pas le fruit des rencontres que nous faisons tout au long de notre existence ? La joie isolée est un ferment irraisonné pour l’épanouissement...
14 juillet 2014

Je me suis échappé de mon visage.

Je me suis échappé de mon visage.
Le bonheur n’est nulle part. Il est aussi vide que l’ennui. Ne peuvent le voir passer que les consciences pleinement établies dans l’instant. C’est un peu comme faire l’amour, de nombreux préludes sont utiles à l’apogée des sens et la jouissance profonde...
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13 juillet 2014

LE CHEMIN, ENCORE... (Extrait)

J'y pense souvent. Aux petits matins ruraux quand les platanes accompagnaient les écoliers. Quand les vélos d'enfance dévalaient les jeudis. Quand on mangeait des fruits au goût de fruits. Quand la terre n'était pas ce grand cri de blessure. Ils ont bitumé...
13 juillet 2014

L’amour replié dans nos chairs.

L’amour replié dans nos chairs.
Nous avons avalé puis ingurgité la réparation de nos fibres. La première clarté de ta beauté ne luira que dans la nuit la plus extrême. Dans l’au-delà de la peur rôde l’univers qui ne saurait dire à la lumière toute son étrangeté. Parce que le noir possède...
12 juillet 2014

Je pense trop, je rêve trop.

Je pense trop, je rêve trop.
Nous vivons, là, dans l’attente d’une levée de poudre ou d’un oiseau s’extirpant de la carte postale. Le jour est la géode osseuse de la nuit. Nous devenons des blancheurs alignées sur le vertige des silences. Assis sur le rebord de l’éternité, nous contemplons...
11 juillet 2014

La beauté a le visage des calvaires.

La beauté a le visage des calvaires.
Toutes les balises encore vivantes crépitent et se tonifient dans cet amas nostalgique. Ma peau touche à l’engrais des impulsions instinctives. Je suis déjà lié aux soupirs du ciel. J’entends le vide remuer derrière les nuages. Quelque chose s’agite....
10 juillet 2014

La respiration a un pied dans la mort.

La respiration a un pied dans la mort.
Rien ne m’encourage davantage à déplacer le temps de sa course effrénée. Au loin, tout existe très fort dans les signes jaillissant par le ricochet des flammes réanimées. Ce matin, alors que le jour balbutiait à peine quelques pépites de lumière, j’ai...
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