11 février 2014
Le virtuel possède quelque chose de vertueux.
Ivre de servitude, l’allégresse de l’utopie s’incruste dans les yeux évasifs. C’est parce que la lune est différente du soleil qu’elle éveille ma curiosité. C’est parce que le vacarme capture le silence que ma peau recrache des sons dissonants. La pluie...