18 janvier 2016
Des grumeaux s’éparpillent.
Les rêves en éclats se bousculent sur l’étal de l’absurde. L’air dans la peau chasse le bruit du sang brouillé. Le regard en éventail ventile la contemplation à la place de l’acte. Je vomis à jeun sur le théâtre nu des bouquets de jeunes Narcisses grimpantes....