Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Bruno ODILE
Archives
Publicité
Bruno ODILE
Visiteurs
Depuis la création 46 183
Derniers commentaires
30 avril 2015

Un jour viendra où le cri sera le voyage. Où la

Un jour viendra où le cri sera le voyage. Où la
Un jour viendra où le cri sera le voyage. Où la révolte ne sera plus une opposition ou un refus, mais une simple tournure de sens, une fatalité mûrie par l’acceptation dynamique. Un jour viendra qui ne demandera rien aux autres rivages. Le puissant moule...
Publicité
Publicité
28 avril 2015

Mon désert, c’est le regret des pays possibles.

Mon désert, c’est le regret des pays possibles.
Cellules à vif, sensibles et diffuses, propulsées dans le voyage pour devenir le voyage lui-même, tout mon corps est modelé par le typhon de l’expérience nocturne restée béante. Affûté dans l’obscurité par de grands songes filants, j’éprouve le désir...
27 avril 2015

A chacun son destin !

A chacun son destin !
Dans la traversée des ombres et des illuminations, je ne suis que la traduction d’un silence âpre et tendre. La vie reste la vérité vraie, quand bien même il n'y aurait plus aucun humain pour la dire. Le bonheur, malgré le lot de fatalités et de difficultés...
25 avril 2015

Résonnances. (3)

Résonnances. (3)
Toute une vie à margotter dans la parallèle des chemins inachevés. Enfant, je levai le doigt pour demander la parole. Adulte, je vociférai ma révolte et mon abjection de l’injustice à qui voulait entendre. Aujourd’hui, je poursuis la route qui s’ouvre...
24 avril 2015

Le bonheur est apatride.

Le bonheur est apatride.
Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise conviction, il y a l’amour et la mort, le pain sur la table et le givre sur la fenêtre. La vérité profonde tord la lumière dès son approche. Le bonheur n’a pas fait le monde mais doit y façonner sans relâche tous les...
Publicité
Publicité
23 avril 2015

J’aime le verbe, il me donne à voir l’invisible.

J’aime le verbe, il me donne à voir l’invisible.
L’éternité est inutile, elle falsifie toutes les notions de temps. La durée est relative à la chose vécue. Entre les mains d’un matin galbé comme une proue coquine, mon radeau chavire, ma cocagne s’éructe et l’heure devient une orgie. Mes rêves ont l’odeur...
21 avril 2015

Je suis ce que je crois être.

Je suis ce que je crois être.
Etre un homme et ne pas le savoir ; être vivant et toujours en douter ; être mort et encore dans le couloir de la lumière. Je décèle au-delà de mon souffle, la rosée qui déroute mes envies. Je m’éteins devant le miroir chaotique d’une balance mécanique...
20 avril 2015

Résonnances. (2)

Résonnances. (2)
Il est des jours où l’on ne supporte plus cet étranger logé en nous-mêmes. Ce monsieur tout-le-monde repenti aux politesses usuelles, aux sourires persifleurs taillant dans la masse, aux parades hypocrites lâchées à la face du monde. Il est des jours...
20 avril 2015

Le visage des sales jours.

Le visage des sales jours.
Le bonheur, l'accomplissement, l'illumination, tous exigent des sacrifices et des actes de générosité. La joie, cela se travaille. J’astique la sobriété, j’avorte de la sur-consommation et dans la marge, je dessine le survoltage de mes sensations. Le...
18 avril 2015

Le réel est devenu le cri apparenté de ma voix.

Le réel est devenu le cri apparenté de ma voix.
Mais où est donc, Ornicar, le monsieur qui coordonne ? Tout éclate comme du verre. Fine particule de cristal, l’échappée de bribes luminescentes scintille dans le noir souverain. On ne saurait tout décider, ni vivre dans la méconnaissance. Par cet apprentissage,...
Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité