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Bruno ODILE
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Bruno ODILE
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Derniers commentaires
12 octobre 2015

Parce que demain c’est toujours. (3)

Parce que demain c’est toujours. (3)
Nous avons été vivants pour toujours parce que jamais est une hérésie conceptuelle. Nous ne parlons qu’une seule langue, celle de l’éloignement raccommodé au présent. Plus je suis proche de toi, plus j’en suis à des années Lumière. Plus je t’ausculte...
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10 octobre 2015

Parce que demain c’est toujours. (2)

Parce que demain c’est toujours. (2)
Ma montre est arrêtée. Le métronome qui donne la cadence à mon cœur a cédé. Tout est dérythmé. L’urgence du réveil régurgite la science des choses. Le temps est momentanément absent. Pendant des heures entières, toute ma vie flotte dans la proximité des...
8 octobre 2015

Parce que demain c’est toujours.

Parce que demain c’est toujours.
Mille courants d’air gonflent mes narines. Pourtant, lorsque je me retourne, aucune silhouette ne bat de l’aile. Rien non plus qui ne puisse ressembler à une ancre. Partout où je croyais être amarré, c’est la mouvance des jours qui déplace la permanence....
7 octobre 2015

RésonNances (61)

RésonNances (61)
J’écris au-dessus de moi, le bras déplié et les ailes à califourchon sur les nuages. Des peupliers fouettent mes doigts. Je ne scintille pas au-delà de la pleine voix illuminée. Je suis assis sur la roue des heures qui me hisse à travers la transparence...
5 octobre 2015

RésonNances (56/60)

RésonNances (56/60)
C’est un jour que l’on ramasse dans l’herbe. C’est une comédie de fleurs et de papillons que l’on découvre sous la ravine. Chaque averse fait déborder ce torrent de couleurs et toute la vallée devient une bonbonnière multicolore. Quelques mots transpirent...
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3 octobre 2015

RésonNances (58)

RésonNances (58)
Quelque part, il y a une parole nocturne qui ne cesse de jouer au chat et à la souris avec l’instantané. Des expressions solitaires mettent en jeu la nuit dans sa mélopée la plus sournoise. J’entends leurs coulées douces dans les rimes de mon cœur. Elles...
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