11 janvier 2016
Tu danses derrière la lune.
Quelque part, l’aveu du jour que je tiens pour une vérité inoxydable s’effondre. Tes cils sont baissés. Ils sont rasés, paupières déshabillées, une fine chair suffit à cacher le monde vivant. L’arbre de sable mélancolique poudre l’unique saison adossée...