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Bruno ODILE
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Bruno ODILE
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Derniers commentaires
30 avril 2017

L’improbable d’une guérison.

L’improbable d’une guérison.
Il faut revenir exalter la peau mûrie par de longues pensées inachevées. Il faut reconstruire la halte mélancolique dans laquelle on a tout abandonné : l’épreuve blessante et ses ruisseaux de peine, l’échec monotone et ses tourbillons aiguisés comme les...
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14 décembre 2016

Au cœur de l’immobilité des miroirs.

Au cœur de l’immobilité des miroirs.
Ossuaire de givre égaré sous la lampe éclairée, la température de l’heure ronge les murs soutenus par la glace éphémère du temps. Portes et fenêtres ouvertes, le ciel n’est pas si loin. J’habite l’ornière de la lacune, les ruines du vide et de la disparition....
6 décembre 2016

La réalité n'est qu'un point de vue.

La réalité n'est qu'un point de vue.
Ah ! Ce monde de pacotilles sensuelles est trop incomplet pour l’organe universel. Il brûle et se consume comme une orange trop mûre sous un ciel caniculaire. Mes peines au bout des lèvres, je m’enfonce en terre. En moi, le vertige est un animal difficile...
29 novembre 2016

J’ai la langue haletante.

J’ai la langue haletante.
Je ne reconnais les nuages ténébreux qu’à l’étoile mourante, qu’aux sacrifices vidés de leurs tristesses. Ma vie d’enfant est morte sur le trépied de l’urgence à grandir. Il me reste à peine quelques images d’oiseaux en plein vol dans un espace clos....
23 novembre 2016

Buée invisible.

Buée invisible.
Sans la dimension temporelle qui accompagne mon esprit, la pensée n’est rien. Le chaos, lui-même, n’est plus qu’un précipice ha¬sardeux. Le temps, c’est la matière sur laquelle repose l’immobile marche du discernement. Le lapsus est le bras droit de la...
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28 juillet 2016

Extrait...

Extrait...
Je cherche le râble éventré du silence dans le moindre haillon de lumière. Je course et je poursuis l’apaisement heureux, l’innocence ouvrant un chemin au cœur des ombres qui me tour mentent. Je mendigote ma salive à la quiétude effacée, à la goutte de...
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