27 décembre 2014
Appartenir au désir comme une joie évasive.
Avec le temps, va, roule et s’envole la poussière tourbillonnante de la révolte. Inutile de fossoyer dans le brouillard ou de chercher à ensevelir la douleur de l’absence avec perte et fracas. On n’oublie pas, et ça dure. On ne change guère et ça pèse....