11 octobre 2014
J’avance d’un pas et recule de deux.
Face à l’immensité de la mer ou de la montagne, l’espace est si grand que l’évidence nous rappelle notre sobre mesure. Le silence de l’ultime buée de soi s’évapore dans la durée qui l’épaissit et dont il n’y a plus rien à dire. Je tournoie dans les hautes...