1 septembre 2014
Le calme déferlement. (Suite 4)
Tout dérive sans jamais véritablement se perdre. Nos esprits accusent l’informe autant que l’informulable. On se révolte contre les cadres et les passages obligés, mais dès lors qu’ils disparaissent, on s’égare. Mon cerveau est sans muscle, je fore l’espace...