27 mars 2014
Suspendu au candélabre de la rue voisine.
De l’épouvantail bariolé qui s’érige entre mon corps et ma pensée, je ne crains rien. J’épouse l’invariable forme du vertige qui tambourine les pupilles du jour. Parfois, la conscience pollue l’aube naissante et des billes de béton cognent mes tempes....